mardi 29 mai 2007
Un monde
- Une ville s'épanouit, une ville s'éclaircit,
- Flamboie là jour et nuit, en un monde en surcis,
- Capitale romantique, capitale féerique,
- Eleveras-tu là, le fruit de tes grands pas?
- Un nord qui va, qui bouge, qui construit des projets,
- Un sud qui va, qui bouge, j'espère sans trop'd'regrets,
- Perpétuel changement, à l'orée d'un tourment,
- Un visage en deux temps, une "valse" à quatre temps..
- Heureuse blanche et noire, jamais ne laisser choir,
- Les pensées fraternelles, les pensées structurelles,
- En lesquelles des années, bien d'hommes ont luttés,
- Bien d'hommes ont versés, sang et larmes mélés....
lundi 28 mai 2007
Montagne ascendante
- Développement durable, commerce équitable
- Soudain c'est raisonnable, tout est devenu palpable
- Sans forêt, sans genêt, un poumon en arrêt
- Une voix, une pensée, viennent revigorer
- Viennent distiller, les actes du passé
- Combien de temps encore, pour un monde plus fort?
- Combien de temps encore, pour être là et faire corps?
- A l'aube d'une lueur, mêmesi parfois jean pleure
- Les verts blés en ces prés, attisent un bel été
- Attisent une marée, un banc d'poisson pêché
- Une page tournée, une page blanche est née
- Une colombe à la paix, à l'orée d'un grand siècle
- Ou même tout s'y prête, prolongement de la Grèce...
samedi 26 mai 2007
En Vrac, Nous, vous,
Au delà de ces mots, au delà de ces flots,
Je pense à toi souvent, même par grand vent,
Même en haut d'un hauban, même au creux d'un tournant,
Que de rêve par ici, que de rêves par là bas,
Là serrer dans tes bras, là pour toi, là par toi...
Au pied d'une colline, au pied d'une montagne,
N'égrènes pas le pire, pas plus une satyre, un pan entier de lyre,
N'as-tu donc pensé, à vivre à ses cotés, à vivre sucré, salé,
Seul comme amant, seul par grand vent, sans un seul tourment,
Que dirais-tu soudain, à l'orée d'un matin, d'une vie,
Qu'elle vienne égrainer, ses messages, ses pensées, ses rythmes endiablés...
Fastes du présent
Une complainte, une étreinte, qui n'sera jamais éteinte
Une rose sur canapé, pistolet, barillet complètement vidé
Oh grande dame pensée, là ça y est chassée,
Les marées, les écueils, les lignes de ce recueil,
En lesquelles si souvent j'ai nagé par moment....
Médicament, patient, Médecine, aspirine,
Chavirent encore soudain, lorsque monté dans'l'train
La vie et le destin, s'étirent vers un entrain.
Cambuse, cantine, midine, maintenant une bonne mine....
Une rose sur canapé, pistolet, barillet complètement vidé
Oh grande dame pensée, là ça y est chassée,
Les marées, les écueils, les lignes de ce recueil,
En lesquelles si souvent j'ai nagé par moment....
Médicament, patient, Médecine, aspirine,
Chavirent encore soudain, lorsque monté dans'l'train
La vie et le destin, s'étirent vers un entrain.
Cambuse, cantine, midine, maintenant une bonne mine....
vendredi 11 mai 2007
Demain
- Une femme des enfants, et aller de l'avant,
- Un foyer, des deniers, on croie vraiment rêver,
- Des nuits et des journées, assumer, savourer,
- Sans trous noirs, sans marées.
- Quel bon vent à venir, trace cet avenir,
- La médecine, la science, oh sage connivence,
- Se plaire, se déplaire et complaire,
- Technologie future, technologie qui dure,
- Au plus profond d'un monde, à l'orée d'une joconde,
- Un peuple Amérindien, sans forêt, sans chemin,
- Un peuple asiatique, qui va technologique,
- Une fenêtre ouverte, une porte peut-être,
- Vers qui, vers quoi soudain, sera fait notr'demain...
Quotidien
- 35 heures, 39 heures, quelles heures pour le labeur?
- Ici une réforme, ici des lois prennent formes
- Pour nous pauvres ou riches,
- Un écart entre deux, un écart bon peu,
- Des voix chantonnent souvent, là au soleil levant,
- En ces terres herbacées, regard mi-clos, serrés,
- Entre dix grains de riz, poussent-ils des soucis?
- Pour l'Europe pour le monde?
- Conquêtes à venir, spatiales pour ne pas'l'dire,
- Milliardaire, sociétaire, seront-ils nous plaire?
- Faire passer des idées, des songes non arrêtés,
- Vers un fin fond céleste, vers un voyage funeste?
- Vers de l'eau, vers du vent, une roche, un océan....
Futur
- Un Sarkozy par ci, un Sarkozy par là
- Autant dire qu'il est là, pour qui ne le voit pas
- A gauche, à droite au centre,
- Là ça y est tout est joué, que va-t-il faire croitre?
- Réchaufement climatique, quelle sémantique?
- Réchaufement planétaire, ça y est c'est la guerre
- Un développement durable, un développement capable,
- De progresser enfin, de créer pour demain,
-Un outil en nos mains, un réveil soudain,
-Vois-tu enfin l'esprit, un coeur qui bat, qui rit,
-Des jours bientôt sans pluie, un bien belle éclaircie.
samedi 5 mai 2007
Dame maladie...
Oh dame maladie, une fois finie, partie,
Cet instant du présent, n'sera plus comme avant,
Comme ces moments passés, à lutter, jour et nuitée,
Vivre bon gré, mal gré, au creux de tes "pensées".
Toride, voir malèfique, parfois très pathétique
Tu t'es cachée en moi, en ce cerveau bien des fois
Chutes et trémoussements, choc et grand tourment,
Comme un peu parfois, à l'ombre d'une émotion,
A l'ombre d'une sensation, tu frappais sans raison!
Parfois j'te détestai, parfois je t'acceptai, je t'oubliai,
Pour avancer encore, sans crise, un grand confort,
Une journée luxuriante, un visage souriant,
Des pensées positives, une vision directive,
En lesquelles bien des fois, j'te voyai droit là-bas.
Oh famille, proche de moi, pour toi j'ai fait le choix,
De m'prendre en main bien seul, de vivre comme chacun,
Du fruit de mon labeur, du fruit de ma sueur....
Des choses on peut en faire, bien des gens à qui plaire,
Des années, heure durant, on construit son "auban"
Son futur magnifique, sans tonico-clonic,
Sans l'ombre d'un malaise, et être bien plus à l'aise,
Sans l'ombre d'un "médoc", sans l'ombre d'un grand choc,
Lire des lignes entières, voir des chemins bien vert....
Et puis vers...Qui??
Vers ou vert, t'ouvert (t'ouvrir, les portes..) ou tout vert.
Affriolant, désinfectant,
Cachet, caché, très cher, pas cher,
Comment qu'oui-je, qu'auditionne-je?
Là en cet instant présent, un tourment,
Premier Mai à venir, un bouquet d'avenir,
Une chaîne affriolante, un travail chaque instant,
Nul égal, nul pareil, quand en moi monte le ciel,
Les nouvelles peu à peu, s'égrainent au grand jeu,
En ces moments duraille, de fortes de rudes batailles,
A venir toride, pour l'avenir le présent.
Une façon
Oh combien de nuitées, de rêves affirolés,
De temps gachés, frappés, j'ai au cours d'années,
Bariolés de pensées, de luttes insencées,
Oh combien de journées, seul à évoluer,
Seul à délecter, chaque seconde heure passée?
J'irai droit en ton coeur, vers le ciel, vers le choeur,
Vers des parties construites, des bâtisses fortuites,
J'irai te visiter, discuter, plaisanter,
Te sortir malgré, un trop peu de denier,
Source d'effort soudain, source de mes mains,
En lesquelles chaque matin, j'te serrerai d'un câlin.
Doute
Ces vers ou sévère, à choisir j'préfère vers,
Ou bien vert encore, plaisir qui a du corps,
Oh combien là doré, ces vertes vagues bordées,
Bon gré, marée, blessé, en suis-je là resté?
Ne voudrai-je donc pas, me blottir en tes bras
En tes vertes prairies, ou tous deux seuls ici,
Choisirons un chemin, un destin, et non pas un frein,
Tous deux ensemble, construirons un ensemble,
Un contexte, un "concept, pas avec des forceps,
A voir comme ci, comme ça, un coeur gros comme ça,
Gros comme la terre entière, un quartier de lumière,
Que dis-je l'univers qui conduit en ces vers...
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