Au temps des tourments, des heures d'antan, au temps des cerises, autant comme autant, n'irai-je point là devant, vers le temps à venir, l'avenir, laissons le venir, sans trop d'soupirs.
Le temps des moissons, le temps des bonbons, clin d'œil à Brel qui chantait là de bien belles chansons.
Le temps des funérailles, n'est-ce pas là la mitraille, un train déraille, des rails qui nous conduisent, vers le gris, vers le bleu, d'un océan grossit par des neiges fondues. Comme un fruit défendu, comme un fruit bien venu, tes caresses, ta tendresse, en moi fait naitre..... Bien des choses. Autant de sensations, d'actes de déraisons, autant de temps en tant nait en moi firmament, nait en toi filament...