mardi 18 décembre 2007
Le temps des ....
Le temps des moissons, le temps des bonbons, clin d'œil à Brel qui chantait là de bien belles chansons.
Le temps des funérailles, n'est-ce pas là la mitraille, un train déraille, des rails qui nous conduisent, vers le gris, vers le bleu, d'un océan grossit par des neiges fondues. Comme un fruit défendu, comme un fruit bien venu, tes caresses, ta tendresse, en moi fait naitre..... Bien des choses. Autant de sensations, d'actes de déraisons, autant de temps en tant nait en moi firmament, nait en toi filament...
Le temps
Une demi mesure, une double croche, qui par son mouvement incessant rythme le temps, le temps présent, d'un cours instant, le temps à venir, dernier soupir...
Un temps d'avance sur le temps, un temps de retard sur le temps laisse délibérément filer le temps d'avance, quand chaque instant, le temps se passe.
dimanche 25 novembre 2007
Choses comme ça...
Choses qui ne s'expliquent pas,
Qui font bouger ça et là,
Au coeur de tes bras,
Là ça y est je suis là...
Choses qui en des années,
Choses qui en des pensées,
Construisent les pierres levées,
Réchauffent les coeurs glacés...

Ca et là, une forme,
Ca et là uniforme,
En des moments caustique,
Sèmes les instants magique...
mardi 20 novembre 2007
Oh rage, Oh désespoir,
N'ai-je donc point accompli, ton rêve échevelé?
N'ai-je donc point souffert, pour ainsi tant te plaire?
N'ai-je donc point englouti, les fleuves aux eaux noircies?
N'ai-je donc point gouté, ces fruits aux gouts salés?
N'ai-je donc point habité, en ton corps bariolé?
N'ai-je donc point navigué, en mes, en tes pensées?
Que ferai-je sans un pas, sans un souffle de toi?
Que ferai-je là jeté, sans une toile tissé?
Telle une chanson sans mots, une vie sans joyaux,
Au fin fond de mes rêves, pour que chaque jour j'en crève...
Une colombe par si...
Réchauffes et offres ton coeur, offres ton grand bonheur,
Effaces tes douleurs, ces jours entiers de pleurs,
Cherches une raison d'être, un loisir un bien-être.
Viens écoper cette eau, parfois au gout salée,
Viens nager en ces eaux, en ces cascades glacées,
Viens gouter, viens sentir, tous les mets de la vie,
Viens au coeur de la joie, au coeur de la foi.
Viens franchir cette route, ce chemin escarpée,
Laisses-toi attirer, vers les flots d'la gaieté...
Petite mesure
Soulèves ce grand voile, caresses les étoiles,
Agites ta marée, éveille tes idées, tes pensées,
fauches en moi tous les blés.
Craches enfin ton venin, laisses jaillir ton entrain,
Développes tes négatifs, affiches les positifs,
Exposes tes clichés, révèles tes idées,
Eclaires tes projets, chasses en toi les regrets.
Dilapide ton passé, oublis ces rudes pensées,
Laisses échapper ta joie, partout autour de toi,
Aimes les hommes, aimes les femmes,
Aimes le monde, aimes la vie....
Toi
Ta pensée, ton étoile,
Ta beauté, ta lumière,
ma force, mon caractère.
Peindre en toi mes "louanges",
Te dessiner un ange,
Peindre en moi tes pensées,
Les vernir sans compter,
Pour que tous deux ensemble,
Vers un chemin ardent,
Un chemin tout blanc,
Chavirerons à deux, vers le ciel, les cieux....
Elixir
Tu es ma sève féconde, mon plaisir qui m'inonde,
Mon pigeon voyageur, ma chanson, ma douleur,
Mon ruisseau, mon bateau, mon grand vent, mon grément.
Mon aurore boréale, mon voyage nuptial,
Ma fraîcheur, ma lueur, mon hymne enchanteur,
Ma faille éventrée, ma douceur romancée.
Je t'ai construit ce pont, franchis le pour de bon,
Brises enfin ce mur, rebouches les fissures,
J'enflammerai pour toi, les chaumes de la joie,
Mon doux plaisir cosmique, mon songe romantique....
dimanche 18 novembre 2007
Feux intérieurs
Minérale ou de source, qu'elle aclabousse!
Le nord, le Sud, le pôle, l'épaule (les)
Les pôles marins, sans un refrain, sans peau d'chagrins..
Etendu d'eau, cercle polaire, plus d'atmosphère?
Etendu d'air, pas assez claire, quelle est si chère..
Un nid, une fôret, un animal, nature joviale,
Paix à ton âme, toi qui déclame:
Oh rage, oh toi colère, lorsqu'en un éclair,
Tu décimes des chaires, des êtres souvent chers,
Si cher à nos yeux, à vos yeux, mon dieu...
Quelle pensée! En une seconde surgit, des êtres là meurtris,
Les mots et là Les cris, d'un pays...
Pays de l'alphabet, pays non illéttré,
Ces mauvaises pensées, viennent ici tachées,
Les pages blanches, l'aube de tout un passé...
samedi 17 novembre 2007
Nigth and Day
Le silence, non-chalance, romance...
Ses senteurs, ses clameurs, les parfums, bel entrain..
Le jour, adouci, éclairé, ébloui, maculé,
De beauté, les crémes à bronzer, les bains, matière naturelle??
Charnelle, cruelle, qu'elle est belle... A croquer? A manger?...
A pleurer? A sucer..? Tambouriner, charmer cett belle fleur d'été....
Acourir, rajeunir, à doucir, les moeurs?
Les mots? les pensées? Quoi encore?
La rattraper, la tutoyer, la chasteté...
Pas d'pas d'enfant, dans ces mots là, dans ces jeux là..
Le temps des mots...
Comment là en se sens, venir chatoyer l'essence de tes pensées?
Camille, Emile, Alphonse, Alexandre,..
Y verrai-je des lignes, des mots là bien à lui, en ces pamphlets voluptueux, des liens sociaux décris, qui par de là les mots, par de là les montagnes, ont franchis bien des siècles, des tourments, des années, pour venir mourrir là, en nos vastes pensées, en nos "prairies" d'été.
Comme cela...
Irai-je ici et là, vers le haut, vers le bas,
Les fracas, les cris d'joie?
Un sourie par ici, te voilà à vingt ans,
Le temps de traverser, ce pont qui c'est fondé,
En ces folles années, le temps bien écoulé,
N'y verrais là tu pas, l'ombre d'un autre pas
L'ombre d'un papa, l'ombre d'un au delà....
N'a guerre 14
Des gaz non hilarants, baillonettes vers l'avant,
Ennivrant les poumons, quand tu craches les jurons,
Au plus profond desquels, se perdent ici et là,
Des particules nocives, une chimie corosive...
A la moutarde le lapin, une goutte de vin? Non merci, mais je n'apprécie plus ce condiment, qui, durant bien des années, vint perforé en moi mes alvéoles blessées.
En bleu aux bottines noire, de l'eau jusqu'au genou, du givre dans le coup, comment ai-je pu survivre à ces instants de peurs et de frayeurs mélées?
Quand ici sonne le glas, quand sonne le fracas,
Une pensée s'illumine, une source en toi qui brille,
Telle une nappe bleuté, en ce feu des tranchées,
Qui vient là paraphé, l'instant de tes pensées, présent des jours passés.
Blottit là et accroché ici, avec mes souliers décharnés, mes pensées grisonnées par cette nappe de fumée, ces flots de balles tirés, au loin se dessine un monticule de terre éclairé par les flots des canons. Comment pourrai-je y croire encore, comment pourrai-je voir le monde endimanché, les festivals d'été?
Maintenant endimanché, une vingtaine d'année,
Une femme à tes côtés, la joie'd'vivre retrouvée..
A l'orée d'une fôret, à l'aube qu'en toi il naît...
A l'aurore d'un reflet, en ces arbres Landais,
Nous seuls dans cette fôret...
Faits Noir (Ils)
En des endroits figés, en des endroits clichés,
Au fin fond des ténèbres, au fin fond des tunnels,
Mal logés, naufragés, des milliers à penser,
Milliers à travailler, sans le droit au foyer,
Seul ou handicapé, un sou là, une clé,
Vois-tu en toi ancré, une idée partagée,
Une sévérité, une vérité liée,
Au pied d'une société, un peu à tes côtés.
Regarde bien au loin, affine là les coins,
Laisse en toi là jaillir, l'idée qu'une paire d'année,
Puisse venir libérer, puisse venir couper, le fil de ton passé....
Effet de Serre
Le désert blanc, le désert "jaune", maîtrise du temps
L'or blanc, l'or noir, lequel laisser choir?
Blanc ou noir à venir, la colombe, le pire?
La pensée, l'acte donné, l'intellecte, le physique?
Un rêve
Des voisins, des chemins, de croix?,
Peuples entiers condamnés, à l'effroi,
A tirer, à crier, contre l'absurdité,
Mouvement, rassemblement, courant, alignement,
Changeras-tu un jour, le fruit des longs discours,
Feras-tu naître demain, "l'amour" de ton prochain,
Si proche là de nous, toi le sud à genou,
Seras-tu là un jour, faire briller les beaux jours,
Renaître de tes cendres, ne plus laisser descendre,
Les peuples, les idées, les rêves entiers scellés,
Au fin fond de ton âme, au fin fond de ta flamme...
Peuple du sud, du levant, des mains d'hommes brandissants,
Un droit à l'avenir, un droit au p'tits plaisirs,
Pain et vin quotidien, un foyer, un destin...
Tant de graines à semer, de champs à récolter,
Un futur, une pensée, qui en une paire d'année
Te change d'la tête aux pieds......
mardi 13 novembre 2007
Au loin du bord
Pot de vin, Quel mystère,
pot de verre, pour plaire,
Apostrophe honnêtement?
Courageusement! et dignement!...
Bout à bout, de vous à nous,
De toi à moi, ne le dis pas,
Il s'agit là, d'un mauvais pas,
D'une apostrophe, d'un bâtiment,
A coeur jeté, proche des marées,
Grincement de dents, grande cité..
Impressionnant? Cubes dans le vent,
Blocs de béton, quand dira-t-on,
Quand tourne le vent, quand le printemps,
Vient à manquer, l'hiver, l'été..
Vie en vrac
Demi de mélée, quel festin,quel entrain
Cette mi-temps festoyée...
Quand tourne le vent, monte l'orage,
Quand tourne le dos, soleils fachés,
Quand tourne la broche, sonne le repas..
Quartier, quart-monde,
Quatre-quart, quart-temps,
Quart d'heure, en voie de développement..
Cités, bariolées, rassaciées,
Piété, gaieté, ouvrier,
Aimé, décrié, distancé, Pauvreté...
Chasteté, charité, bien ordonnée,
Clareté, festivité, démesurée,
Beau comme les blés, endimanché,
Toi religion tu es là née...
Le temps qui coule....
Qui peu à peu s'envole,
Vers des cieux, des marées,
Vers des champs là semés,
Des songes d'une nuit d'été,
Des chemins là boisés,
En lesquels peu à peu,
Se forgent des idées,
Se forgent des pensées...
Doux message
J'entend battre tes ailes,
Tes refrains, tes louanges,
Filent droit vers un ange..
Vers ces grands champs de blé,
Semer l'hiver, l'été,
Au loin un arc-en-ciel,
Un symbôle une merveille,
Eveille chaque jour,
Les sentiments qui courent..
Un chêne vers le ciel,
Beauté immatérielle,
Une pensée s'éveille,
Un sentiment craquèle,
Au loin à l'horizon,
Deux voix en unisson,
Laissent soudain échapper,
L'essence de leurs pensées...
Amour
Le grand feu de l'amour,
Conté chaque nuitée,
Les versets tant aîmés.
Brique par brique montées,
Mètres par mètres élevés,
Une demeure se batit,
Un coin de paradis.
En lequel toi et moi,
Chavirerons bien des fois,
Chanterons de vive voix,
Les refrains de la joie.
Oh grand dame amour,
Oh grand dame toujours,
Des liserets aux contours,
Dessinent tour à tour,
Un sentiment qui coure......
Jeunesse
Une fleur entre les dents,
Je te vois dessiner,
L'aube de tes vingts années,
Là à l'orée d'un bois,
Les tourments, les fracas,
Les hymnes à la joie,
Transfigurent sans cesse,
Les mots là qui te laissent,
Infiniment grandir.....
Toi monde construction
Hauteurs élevées,Bâtisseurs d'années,
Candeur enlevé, toi homme de chantier.
Ton courage jeté, ta couleur d'été,
Hiver comme été, par moins dix degrés,
Un fil pour te guider, une chaleur jetée,
Lorsque tous à manger, tu repars d'un bon pied...
Tel l'époque romantique, tel un art gothique,
Soudainement ancré là, tu cherches en vain la foi,
Des premières années, tes premières idées...
Une ligne raffinée, matériaux fécondés,
Au fil des années, éloge de la pensée,
Architecture moderne, tes lignes sans pareilles,
Caracolent vers le ciel, en ce monde virtuel....
Un long voyage
Une oraison funeste,
Ont semés ça et là,
des rires, des tracas,
Des graines pour l'été,
Des champs entier de blé,
Toi seul à mes côtés,
des mois à protéger,
L'essence même de la vie,
l'essence même en un cri,
Délie bien des sourires,
Ne laisse pas ternir,
Les sentiers à venir, les chemins à fleurir,
Les sentiments courir...
samedi 20 octobre 2007
A faire
Me déplaire, se plaire, te plaire, repair inattendu, inaperçu,
Grande étendue, verte étendue,tu n'es donc plus, l'eau jaillit plus.
Outre passe donc, outre tombe, outre aperçu
Ou es-tu, malentendu, quoi donc??
L'as-tu vu, l'as-tu touché, fait virevolter
Temps d'une pensée, temps d'un été.
Il est bien là, là à deux pas, à deux doigts,
Plus qu'un choix, comme toi et moi, à bout de bras,
Chacun pour toi, une phrase, une fois, être là avec toi...
Guerre et paix
- Bon gré, malgré..., tu prospères, tu éclaires:
- La nuit et le jour aussi,les marchands de fusil,
- Le tourment, le tournant, d'un pays, d'un conflit.
- Que d'hommes, que de sueur, que de peur,
- Pour.... Une frontière, un cimetière,
- Un mirage, des ravages, "plus d'sauvages",
- Barbarie et conflits otes toi d'là ça suffit!!!...
- Maîtrise de la foi, hymne et feu à la joie
- Epreuve au bout des doigts, un vrai chemin de croix
- Chacun là bord à bord, tirer là sans remord,
- Pour que monte la mort, l'âme de ses corps.
samedi 22 septembre 2007
Temps présent, temps de temps...
Plastic, pétroléum,... Quoi d'autres?... Que sais-je... Un ustensille peut-être, un vêtement, un carburant, un... Quelle odeur, quelle chaleur, quelle couleur sur les cotes, le plumage, quel ravage.. Cours enflammés, guerre éclatée, Bush éreinté, arrassé, milliers de blessés, de tués... Pour qui, pour quoi, pour toi??
Romantique... Toute une histoire...Chut. Catastrophique??? Mon dieu! Sans jouer avec les mots..
Réchauffement climatique, patéthique, du souffre, fantastique? Cette solution chimique! De la glace, salée, glacée, congelée voir même évaporée jusqu'à faire baisser ces satanés degrés.
Electrique, ouverture des marchés, que va-t-il flamber, Quand va-t-il flamber? Deux, trois, quatre années... Passées... Un p'tit panneau solaire, n'est pas le monde à l'envers.
Une solution chimique, "mécanique", scientifique, "atomique". Bien des surprises, bien des solutions gonfleront ce ballon. Nous vivrons!!
mercredi 15 août 2007
Informe à tic
- Des clics et déclic, une souris, loupe grossie
- Virtuel, réel, conflictuel, éternel
- Cher, moins cher, chère, très chère,
- Nous voilà, là tout droit,
- Vers un lieu, vers des cieux.
- Astronome, astronaute,
- Google map, IGN, tu déchaînes,
- Feux et flots, des passions,
- Réactions en chaîne, enchaine..
- Surfe, passe, outrepasse,
- Vers un site, une télé, une radio,
- Publicité, spam, spyware, que dire
- En finir, assagir, dégrossir.
- A part ça? Tout va bien,
- Bien en main, la machine,
- Qui turbine, qu'illumine,
- Les pensées, toutes les clés,
- Du savoir, de l'espoir, faut y croire.
Ere du temps
- Pour le veau, le mouton, le cochon,
- Etiqueter, affiner, nos choix, nos marques.
- Ere chimique, fantastique? Plastique,
- Vêtement, médicament, aliment, à présent
- Cours en hausse ou coure en hausse,
- Du pétrole, de l'acier.
- Quel marché, CAC40, Eurostox,...
- Bourse en action, pas le même jargon,
- Action en bourse, quelle course?
- Un sprint, un demi-fond, un marathon?
- Eurotunnel, tu bas des ailes, du bas de l'aile,
- Perd pas le bout, tiens le bon bout!
- Groupama, naviguera à bon port
- Au prè, à babord, à tribord
- Par forte tempête, par mer plate,
- Debout, allongé, à quatre pattes
- En mature, barre à bord, vire de bord.
Bientôt et maintenant
- Bonjour les dégats ou bonjour la joie
- Un vers ici et là, des points en plus tu gagneras
- Un verre ici et là, des points en moins tu perdras
- Sur toute la ligne..., sur le permis!
- Permis d'accidenté, permis de voyager
- A réfléchir, sans détour, je dirai vers... (décidément)
- Vers qui, vers ou, à la campagne, à la montagne,
- Aux bords de mer, en ville,... Que sais-je?
- Vers la nature tout court!
- En péril? En reconstruction, en fluctuation..
- N'avons nous pas affronter de pires situations?
- La guerre, la peste, l'ère glacière, etc...
- Un peu loin, mais pas trop.
- L'homme est bon, nous y arriverons.
vendredi 3 août 2007
Petit pamphlet
Douceur, jovialité est-ce donc un pêché?
Préserve hatif, relation passagère, ou à long terme et jusqu'au bout de la route.
Sans pneu de secours, peu de secours... La différence? Le couple, la vie, les amis d'un côté... Solitude, exactitude, habitude,...
Que dire???.... Mille choses encore mon brave!!
La suite effarouchéee
A quoi?, pourquoi?, pourquoi pas? Tiens dont...
A bon?... A qui de droit, à qui la foi, à qui la faute...
A qui???... A quoi!! Pourquoi, pour qui!!!.. Sacré question!
La foi, l'amour, la joie, la croix, le choeur et le coeur, l'hymne....
L'hymne à la joie! Croix de fer, croix de bois, coeur de...., coeur de pierre!
La nef, le choeur, le pilastre, l'espace, l'espace temps...
Temps pour toi, tant pour lui, donneras-tu ainsi? Donneras-tu à qui?
A qui de droit.. A qui d'autre?? Bonne question!
Vie, mort, amour, haine, coeur, pierre, Luc, bernard, Matthieu,..
Non je ne parlerai pas d'eux!
Rires, larmes, rouge, noir, l'aube, le crépuscule, l'étoile, lambda!
Vitesse, ralenti, action, nonchalance, passion, tendresse, prêtresse, maîtresse,
Un mètre, un maître. Des lieux?! Des cieux?! De l'univers?!.. Quelle réponse!..
Que dire, qu'offrir, que faire... La guerre!! Rrrrr... La paix... l'amour, fleur entre les dents... Soixante huit Art!...Tard le soir, au matin, dans la nuit, tu souris, tu jouis...
Tends, détends, des temps, des valses à quatre temps, pour autant, te dire tant, tant de mots à venir, tant de monde à construire, à détruire, Non!! Non et non!! Pas de verbe comme ceci dans mon vocabulaire, la destruction n'apporte rien!!!! Infamie que ce mot!! Gros mot, mentir, bannir!!...
Pourtant, soudain, qu'est-ce donc ce refrain,à qui, mais quoi, ceci, Oh, madame,... Oserai-je ainsi...
Endiablé, effarouché, tourmenté, anxiété, innhibé, société, société!!??
Un été, un bronzé chaviré, éseulé, toi là-bas.. Toi ici.. Seul en toi... Bout du doigt, je te vois... M'entends-tu? Me vois-tu? Bouges-toi! 3 p'tits pas!!
Tiens?! Le tien ou le mien? Les siens, les seins... Oh mes vous m'en direz tant! A quel temps! Au présent, au futur, ...Quelle luxure!... Quelle gajure, quelle tournure... Tourne, tourne, le vent, le temps, la main, la page, le refrain, le serpentin, le manège, la girouette... Tu t'y prêtes...
Cacahuète, noisette, quéqu..te, Oh!! Comment as-tu osé??? Braguette aussi!! t'en que tu y es.. Et pourquoi pas crevette, paquerrette, non pas à raz, mais en bouquet, s'il vous plaît...
Regarde cet homme, là... A chérir, adouci, à quérir, à banir????, Affriolant, coeur battant, abattant, tournoyant, virevoltant, chantant, marchand, de pain?, de beurre? Mais non... En marchant!! En sifflottant, en courant, en trottinant, en s'essoufflant... Après ces mots, que dire! Repos mon général!!
Que dire, que faire,
Pair, impair et manque, manque de vous, manque de toi,
Manque à gagner, manque à pleurer, bonne mère...
Manque à gagner, ouvrier, employé, coeurs brisés,
Du rire aux larmes, des larmes aux cris, des cris à la douceur, la gratittude... A l'amour. Cri d'amour, cri de joie, cri de honte, chrisantème tu appelles des saints, dessins, des saints noirs, souvenirs blanc et noir, peine et désespoir, nous voici dans le noir.
Apprentissage
- Au pied??
- Non, Bougre d'andouille... Au nez!! Au tanin, là devant toi... Regarde sa robe bordeaux..
- Oh, oh, qu'elle est belle la demoiselle...
- Non,...pas cette charmante passante enfin!!! Là... Devant toi, à deux doigts, si je puis m'exprimer ainsi... Deux doigts de ce vin là, et te voilà soudain au paradis, à l'ombre d'un côteau... Un côteau si fragile, que même l'homme le plus bourru du monde n'oserait toucher, déraciner... Vois-tu, il y a des choses qui ne se donne pas, mais qui se gagne, qui se mérite.
- Voilà pour toi un verre de ce joyau domaine!
- Merci!
mercredi 1 août 2007
Connaissance
Nom de dieu
- Messie... Mais non! Oh mon dieu... Que vois-je en toi, paroles infâmes... 2 femmes peut-être, n'est-ce pas l'évêque?... Quoi d'autre... Encore...Un calice, une malice, la police.. Oh, oh, j'me sauve...
Une certaine vision
Casanier, télé, jeux.. à deux? en amoureux.. A trois?, A quatre?, A cinq?, Quoi d'autre, échangiste peut-être?
A mes heures, de bonheur?, de malheurs?, Quel effet cela fait de la voir ainsi??
Qui c'la?? Ta femme!!!
Dialogue
Sellerie.... Tiens mon cheval... Courons de suite messire, attelés votre monture...
- Mon cher, sachez que je ne coure pas, je saute, je trépigne, je virevolte sans cesse, mon métier?? Joueur de polo.
- Salut Polo!!
dimanche 22 juillet 2007
Certains moments
Découverte ennivrante, découverte nonchalante,
Bien des moments vécus, bien des instants perdus,
Des sentiments feutrés, pour toi j'l'ai est gardés.
Souvent là chaque instant, la fleur entre les dents,
Chassant de jour en jour, certains souv'nirs de jours,
Souvent main dans la main, comme un "dieu" comme un "saint",
Comme une guèpe, un essaim, une ruche dans'l'jardin.
Nous,...
Je pense à toi souvent, même par grand vent,
Même en haut d'un hauban, même au creux d'un tournant, d'un tourment,
Que de rêves par ici, que de rêves par là,
Là serrer dans tes bras, là pour toi, là pour moi.
mercredi 11 juillet 2007
Une fresque

Clair, éclaire encore, surtout perd pas le nord,
Chante, chante, toujours, pour que vienne l'amour,
Pour que vienne un retour, le goût sucré du jour.
Le temps est un ami, le temps est un ennemi,
Il sème la pagaille, il dévoile ses failles,
Il crée des soucis, des envies, des parties,
Des moments de mitraille, des moments qui déraillent,
Au pied de l'horizon, au pied de ton blason,
Cerner là la raison, tu es là déraison,
Réparé, service, pensé, tels sont les mots clés,
Les mots en toi donné, les fresques adorées.
dimanche 10 juin 2007
Seine
- Scène de tous les maux,
- Seine pour un grand saut,
- Vagues à l'âme tu dérailles,
- Y plonger corps et âme.
- Un bras, une main tendue,
- Y flirter ingénues,
- Un pont, une passerelle,
- Paris déploie ces ailes,
- Capitaine au long cours,
- Une vision sans détour,
- Un bras vers l'océan,
- Un courant outrageant,
- Bateliers, chandeliers,
- Marche à pied, écoliers,
- Sol souvent foulé,
- D'amours et d'amitiés...
- Ici un dîner batelier,
_ Là un pique-nique doré,
- Une vitrine pour danser,
- Bon gré, malgré, marée...
Années
- Perdurent dans le temps, effacent chaque instant,
- Titubant, ennivrant, somnolence du moment,
- Combien de temps encore, subir ce matador,
- Cette chimère endiablée, qui vient ainsi troubler,
- L'étoffe des pensées, le jaune du champ de blé,
- Toi dame maladie, un jour tu m'as dit,
- A quatre ans je m'installe, à trente ans la cavale.
- Sept années endurcies, sept années des écris,
- Seul dans ce réduit, j'veux pas finir ici, petit,
- Toi mon fils, ma "présence", ma foi, mon espérance,
- Toi femme éternité, j't dédie mes années,
- Ces luttes, ces virées, ces larmes, ces rires donnés,
- Un amour naissant, un amour transparent,
- Même par grand vent, regarde le firmament,
- Regarde loin devant, à l'avenir, au présent....
lundi 4 juin 2007
Un jour, une vie,

- Aimer profondément, savoir serrer les dents,
- Une hirondelle passée, fruit de mois écoulés,
- Une chouette, un hiboux, un cerf, un loup-garou,
- Là seul à tes côtés, là ça y est c'est gagné...
- Moment de doux plaisirs, longues marches, élixir...
- Moment privilégié, tous deux à dialoguer,
- De ceci, de cela, de "choses" qui n'se voient pas,
- Parler et rigoler, fauché là les champs d'blé.
- Romance nonchalance, mon dieu là quelle chance,
- Labeur, sueur, vapeur, j'aime du fond du coeur,
- Matins enfarinés, matin tête dans l'pâté,
- Encore dans tes pensées, encore dans mes pensées,
- Musique dans les oreilles, refrain là sans pareil,
- Qui sonne, qui résonne, avant que l'heure ne tonne
- Une pensée furtive, une pensée constructive,
- Allume soudain en moi, un hymne à la joie...
mardi 29 mai 2007
Un monde
- Une ville s'épanouit, une ville s'éclaircit,
- Flamboie là jour et nuit, en un monde en surcis,
- Capitale romantique, capitale féerique,
- Eleveras-tu là, le fruit de tes grands pas?
- Un nord qui va, qui bouge, qui construit des projets,
- Un sud qui va, qui bouge, j'espère sans trop'd'regrets,
- Perpétuel changement, à l'orée d'un tourment,
- Un visage en deux temps, une "valse" à quatre temps..
- Heureuse blanche et noire, jamais ne laisser choir,
- Les pensées fraternelles, les pensées structurelles,
- En lesquelles des années, bien d'hommes ont luttés,
- Bien d'hommes ont versés, sang et larmes mélés....
lundi 28 mai 2007
Montagne ascendante
- Développement durable, commerce équitable
- Soudain c'est raisonnable, tout est devenu palpable
- Sans forêt, sans genêt, un poumon en arrêt
- Une voix, une pensée, viennent revigorer
- Viennent distiller, les actes du passé
- Combien de temps encore, pour un monde plus fort?
- Combien de temps encore, pour être là et faire corps?
- A l'aube d'une lueur, mêmesi parfois jean pleure
- Les verts blés en ces prés, attisent un bel été
- Attisent une marée, un banc d'poisson pêché
- Une page tournée, une page blanche est née
- Une colombe à la paix, à l'orée d'un grand siècle
- Ou même tout s'y prête, prolongement de la Grèce...
samedi 26 mai 2007
En Vrac, Nous, vous,
Au delà de ces mots, au delà de ces flots,
Je pense à toi souvent, même par grand vent,
Même en haut d'un hauban, même au creux d'un tournant,
Que de rêve par ici, que de rêves par là bas,
Là serrer dans tes bras, là pour toi, là par toi...
Au pied d'une colline, au pied d'une montagne,
N'égrènes pas le pire, pas plus une satyre, un pan entier de lyre,
N'as-tu donc pensé, à vivre à ses cotés, à vivre sucré, salé,
Seul comme amant, seul par grand vent, sans un seul tourment,
Que dirais-tu soudain, à l'orée d'un matin, d'une vie,
Qu'elle vienne égrainer, ses messages, ses pensées, ses rythmes endiablés...
Fastes du présent
Une rose sur canapé, pistolet, barillet complètement vidé
Oh grande dame pensée, là ça y est chassée,
Les marées, les écueils, les lignes de ce recueil,
En lesquelles si souvent j'ai nagé par moment....
Médicament, patient, Médecine, aspirine,
Chavirent encore soudain, lorsque monté dans'l'train
La vie et le destin, s'étirent vers un entrain.
Cambuse, cantine, midine, maintenant une bonne mine....
vendredi 11 mai 2007
Demain
- Une femme des enfants, et aller de l'avant,
- Un foyer, des deniers, on croie vraiment rêver,
- Des nuits et des journées, assumer, savourer,
- Sans trous noirs, sans marées.
- Quel bon vent à venir, trace cet avenir,
- La médecine, la science, oh sage connivence,
- Se plaire, se déplaire et complaire,
- Technologie future, technologie qui dure,
- Au plus profond d'un monde, à l'orée d'une joconde,
- Un peuple Amérindien, sans forêt, sans chemin,
- Un peuple asiatique, qui va technologique,
- Une fenêtre ouverte, une porte peut-être,
- Vers qui, vers quoi soudain, sera fait notr'demain...
Quotidien
- 35 heures, 39 heures, quelles heures pour le labeur?
- Ici une réforme, ici des lois prennent formes
- Pour nous pauvres ou riches,
- Un écart entre deux, un écart bon peu,
- Des voix chantonnent souvent, là au soleil levant,
- En ces terres herbacées, regard mi-clos, serrés,
- Entre dix grains de riz, poussent-ils des soucis?
- Pour l'Europe pour le monde?
- Conquêtes à venir, spatiales pour ne pas'l'dire,
- Milliardaire, sociétaire, seront-ils nous plaire?
- Faire passer des idées, des songes non arrêtés,
- Vers un fin fond céleste, vers un voyage funeste?
- Vers de l'eau, vers du vent, une roche, un océan....
Futur
- Un Sarkozy par ci, un Sarkozy par là
- Autant dire qu'il est là, pour qui ne le voit pas
- A gauche, à droite au centre,
- Là ça y est tout est joué, que va-t-il faire croitre?
- Réchaufement climatique, quelle sémantique?
- Réchaufement planétaire, ça y est c'est la guerre
- Un développement durable, un développement capable,
- De progresser enfin, de créer pour demain,
-Un outil en nos mains, un réveil soudain,
-Vois-tu enfin l'esprit, un coeur qui bat, qui rit,
-Des jours bientôt sans pluie, un bien belle éclaircie.
samedi 5 mai 2007
Dame maladie...
Oh dame maladie, une fois finie, partie,
Cet instant du présent, n'sera plus comme avant,
Comme ces moments passés, à lutter, jour et nuitée,
Vivre bon gré, mal gré, au creux de tes "pensées".
Toride, voir malèfique, parfois très pathétique
Tu t'es cachée en moi, en ce cerveau bien des fois
Chutes et trémoussements, choc et grand tourment,
Comme un peu parfois, à l'ombre d'une émotion,
A l'ombre d'une sensation, tu frappais sans raison!
Parfois j'te détestai, parfois je t'acceptai, je t'oubliai,
Pour avancer encore, sans crise, un grand confort,
Une journée luxuriante, un visage souriant,
Des pensées positives, une vision directive,
En lesquelles bien des fois, j'te voyai droit là-bas.
Oh famille, proche de moi, pour toi j'ai fait le choix,
De m'prendre en main bien seul, de vivre comme chacun,
Du fruit de mon labeur, du fruit de ma sueur....
Des choses on peut en faire, bien des gens à qui plaire,
Des années, heure durant, on construit son "auban"
Son futur magnifique, sans tonico-clonic,
Sans l'ombre d'un malaise, et être bien plus à l'aise,
Sans l'ombre d'un "médoc", sans l'ombre d'un grand choc,
Lire des lignes entières, voir des chemins bien vert....
Et puis vers...Qui??
Vers ou vert, t'ouvert (t'ouvrir, les portes..) ou tout vert.
Affriolant, désinfectant,
Cachet, caché, très cher, pas cher,
Comment qu'oui-je, qu'auditionne-je?
Là en cet instant présent, un tourment,
Premier Mai à venir, un bouquet d'avenir,
Une chaîne affriolante, un travail chaque instant,
Nul égal, nul pareil, quand en moi monte le ciel,
Les nouvelles peu à peu, s'égrainent au grand jeu,
En ces moments duraille, de fortes de rudes batailles,
A venir toride, pour l'avenir le présent.
Une façon
Oh combien de nuitées, de rêves affirolés,
De temps gachés, frappés, j'ai au cours d'années,
Bariolés de pensées, de luttes insencées,
Oh combien de journées, seul à évoluer,
Seul à délecter, chaque seconde heure passée?
J'irai droit en ton coeur, vers le ciel, vers le choeur,
Vers des parties construites, des bâtisses fortuites,
J'irai te visiter, discuter, plaisanter,
Te sortir malgré, un trop peu de denier,
Source d'effort soudain, source de mes mains,
En lesquelles chaque matin, j'te serrerai d'un câlin.
Doute
Ces vers ou sévère, à choisir j'préfère vers,
Ou bien vert encore, plaisir qui a du corps,
Oh combien là doré, ces vertes vagues bordées,
Bon gré, marée, blessé, en suis-je là resté?
Ne voudrai-je donc pas, me blottir en tes bras
En tes vertes prairies, ou tous deux seuls ici,
Choisirons un chemin, un destin, et non pas un frein,
Tous deux ensemble, construirons un ensemble,
Un contexte, un "concept, pas avec des forceps,
A voir comme ci, comme ça, un coeur gros comme ça,
Gros comme la terre entière, un quartier de lumière,
Que dis-je l'univers qui conduit en ces vers...
jeudi 19 avril 2007
Grande cuvée

Tu es mon millésime, mon coteau si fragile
Ta robe pourpre en moi, éveille un gout sensuel,
Tu voyages en mon corps, tu m'offres to réconfort
Labourer chaque jour, les chemins de l'amour,
Semer en toi les fleurs de ton jardin songeur,
Les chaumes de ta douceur, éveillent ma spendeur,
Tu es ma raison d'être, sans cesse je caresse,
Les nuages du bonheur, qui s'promènent en ton coeur,
Souvent humidifié en ces nuits agitées,
En ces moments furtifs, nous buvons le calice,
D'une récolte chaleureuse, qui nous rend si heureux
mercredi 18 avril 2007
Ma lettre ouverte pour toi....

Au temps, autant présent.
Comme je serai te dire les mots que j'affectionnent, les mots qui par delà les sentiments les plus profonds, les plus cachés, viennent courir ou mourir à l'orée de ton oreille. Comme jamais éperdu j'ai été, comme jamais amoureux j'ai été, je te dis simplement que je t'aime. Toi qui seras l'essence même de mes actes, de mes pensées les plus profondes, parfois inaccessibles, j'aimerai te dédier ma vie, ma foi, mes tripes, celles qui parfois ressortent dans les moments les plus intenses.
Je veux être là, blottit là dans tes bras, à l'orée de ce bois, à l'orée du bonheur, là seul contre ton coeur....
Là avec toi, en une abysse profonde, je sentirai soudain une émulsion féconde... Je sentirai soudain mon for intérieur, renaître de ses cendres, et s'envoler encore vers un monde nouveau, vers d'autres destinations..
Depuis X années, je ne vois que par toi, que par ces flamboiements automnnales qui resplendissent de jour en jour, effaçant chaque minutes de ces instants de noirceurs, de malheur, comme ci, là présent, j'affriolerai chaque seconde passée.. Seul entre tes bras, seule entre mes bras, j'irai au confins du bonheur, même si, des mois et des semaines nous séparent encore....
Rebatir, reconstruire, les pierres du passé, celles qui n'ont pas été montées tout en haut au clocher. Cet édifice déconstruit par de fortes tempêtes, de fortes rafales de vent venues une à une décalcifier ces pierres, ces roches friables, que le temps à sculpté, à changé, à façonné à sa manière, suivant ces humeurs, ses passions, ses turbulences...
Patrick.
http//www.poesie.webnet.fr
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89criture
mardi 17 avril 2007
Lettre à Elise
A l'aube d'une pensée, en trois sens.
Comme je voudrai te dire, comme je voudrai faire plus encore pour toi, toi qui, cachée derrière cette multitude de visages, de rues et de ruelles, apparais ça et là... Viendras-tu un jour ensoleiller plus encore mon for intérieur, pour que des jours et des années durant, nous puissions, ensemble, construire un nid, que dis-je une forêt romanesque... Quelle aubaine me direz-vous, cela ferait-il? Quel amour cela cacherait-il? Une passionnata, une vague déferlante, une eau plate...?? Non surement pas, j'y vois bien là une... Comment dirai-je... une « folie » douce, en laquelle, tous deux ensemble nous pourrions partager, évoluer au gré..., du vent..., d'un parcours bien pensé.. Construit en mon for intérieur qui ne demande qu'a aimer, même si des années durant une ombre épileptique est venue cachée mon plus beau visage. Je n'ai cessé de penser à toi, et ne cesse encore, toi qui durant toutes ces années m'a fait traverser bien des marées.. Ne te cache plus derrière quelqu'un, quelque chose, montre toi bien enfin, même si à droite à gauche, j'y met surtout du mien. D'un âge avancé, la quarantaine sonnée, début cholestérol pris en charge de suite après la visite chez le toubib, me voilà bien seul dans ce lit douillet, au fin fond duquel je n'y sens que du vide, de la place pour écarter bras et jambes. Parfois un coup de blues, des rires, plus de coup de semonce, de coups de canon maléfiques. Tant de parcs visités, tant villes imprégnées, de kilomètres marchés, sans toi à mes côtés... Sans cette intimité, à forciori cachée, qui sera renouveller un taux de fluidité et de fécondité. Tu es là à deux doigts, je te sens, je n'te vois pas... Pour une fois toute proche, là, vraiment à deux pas, l'essence même de ma joie, part s'envole vers toi. Ne suis-je pas « vaillant » pour qu'à l'orée d'un bois, tu puisses accepter de venir caresser l'essence même de mes sens??? Nous partirons ensemble vers des contrées sauvages, romantiques, vers des coulreurs chatoyantes, vers des reflets changeants en lesquels toi et moi nous chavirerons tous deux...
Une épaule gracieuse, une mine aguicheuse, des bras pour soutenir les peines et les joies, les sentiments si purs, les .... impurs. Des sujets à gogo, du pain, du vin de l'eau. Ne plus se retourner, aller vers l'avant, vers ces reflets changeant, qui par delà les mots nous entraînent vers des routes incongrues.., des chemins décousus... Un fil, une aiguille, des heures à corps perdus, en lesquelles toi et moi, tisseront ensemble une toile incassable. Non qu'elle ne soit statique, non qu'elle ne soit typique, typiquement blanche ou noire, surtout quand vient le soir. En ces sages expressions, en ces sages « fleurons », que cache la vérité, celle qui en des années apparaît au fil des champs de blé, labourer et semer, pour une éternité... Que d'autre que toi encore, pourrait sans trop d'efforts, balayer quelques plaies, quelques brulûres, à moitié cimentées, par une paire d'années, seul à méditer, à écrire, dessiner, internet, télé, à lire, à réver... A embriquer enfin, l'espace qui nous sépare, ce long chemin pavé, qui nous emmenera vers une belle aventure, vers cette belle aventure qu'est la vie...!!!
J'm'en sort bien tu sais, au creux de ton oreille, tu vois j'te raconterai..........
Bises
PS: Que dire d'autre, sinon,..., Mille choses encore....