dimanche 25 novembre 2007

Choses comme ça...

Il y a des choses comme ça,
Choses qui ne s'expliquent pas,
Qui font bouger ça et là,
Au coeur de tes bras,
Là ça y est je suis là...

Choses qui en des années,
Choses qui en des pensées,
Construisent les pierres levées,
Réchauffent les coeurs glacés...




Ca et là, une forme,
Ca et là uniforme,
En des moments caustique,
Sèmes les instants magique...

mardi 20 novembre 2007

Oh rage, Oh désespoir,

N'ai-je donc point fleuri, les parcelles herbacées?
N'ai-je donc point accompli, ton rêve échevelé?
N'ai-je donc point souffert, pour ainsi tant te plaire?

N'ai-je donc point englouti, les fleuves aux eaux noircies?
N'ai-je donc point gouté, ces fruits aux gouts salés?
N'ai-je donc point habité, en ton corps bariolé?
N'ai-je donc point navigué, en mes, en tes pensées?

Que ferai-je sans un pas, sans un souffle de toi?
Que ferai-je là jeté, sans une toile tissé?
Telle une chanson sans mots, une vie sans joyaux,
Au fin fond de mes rêves, pour que chaque jour j'en crève...

Une colombe par si...

Chasse les turbulences, laisses briller ta romance,
Réchauffes et offres ton coeur, offres ton grand bonheur,
Effaces tes douleurs, ces jours entiers de pleurs,
Cherches une raison d'être, un loisir un bien-être.

Viens écoper cette eau, parfois au gout salée,
Viens nager en ces eaux, en ces cascades glacées,
Viens gouter, viens sentir, tous les mets de la vie,
Viens au coeur de la joie, au coeur de la foi.

Viens franchir cette route, ce chemin escarpée,
Laisses-toi attirer, vers les flots d'la gaieté...

Petite mesure

Ravives mont et merveille et découvrir le ciel,
Soulèves ce grand voile, caresses les étoiles,
Agites ta marée, éveille tes idées, tes pensées,
fauches en moi tous les blés.

Craches enfin ton venin, laisses jaillir ton entrain,
Développes tes négatifs, affiches les positifs,
Exposes tes clichés, révèles tes idées,
Eclaires tes projets, chasses en toi les regrets.

Dilapide ton passé, oublis ces rudes pensées,
Laisses échapper ta joie, partout autour de toi,
Aimes les hommes, aimes les femmes,
Aimes le monde, aimes la vie....

Toi

Tu tisses en moi ta toile,
Ta pensée, ton étoile,
Ta beauté, ta lumière,
ma force, mon caractère.

Peindre en toi mes "louanges",
Te dessiner un ange,
Peindre en moi tes pensées,
Les vernir sans compter,
Pour que tous deux ensemble,
Vers un chemin ardent,
Un chemin tout blanc,
Chavirerons à deux, vers le ciel, les cieux....

Elixir

Tu es ma stèle marbrée, mon fruit mon potager,
Tu es ma sève féconde, mon plaisir qui m'inonde,
Mon pigeon voyageur, ma chanson, ma douleur,
Mon ruisseau, mon bateau, mon grand vent, mon grément.

Mon aurore boréale, mon voyage nuptial,
Ma fraîcheur, ma lueur, mon hymne enchanteur,
Ma faille éventrée, ma douceur romancée.

Je t'ai construit ce pont, franchis le pour de bon,
Brises enfin ce mur, rebouches les fissures,
J'enflammerai pour toi, les chaumes de la joie,
Mon doux plaisir cosmique, mon songe romantique....

dimanche 18 novembre 2007

Feux intérieurs

Etendu d'eau fait le gros d'eau,
Minérale ou de source, qu'elle aclabousse!
Le nord, le Sud, le pôle, l'épaule (les)
Les pôles marins, sans un refrain, sans peau d'chagrins..

Etendu d'eau, cercle polaire, plus d'atmosphère?
Etendu d'air, pas assez claire, quelle est si chère..
Un nid, une fôret, un animal, nature joviale,
Paix à ton âme, toi qui déclame:

Oh rage, oh toi colère, lorsqu'en un éclair,
Tu décimes des chaires, des êtres souvent chers,
Si cher à nos yeux, à vos yeux, mon dieu...
Quelle pensée! En une seconde surgit, des êtres là meurtris,
Les mots et là Les cris, d'un pays...

Pays de l'alphabet, pays non illéttré,
Ces mauvaises pensées, viennent ici tachées,
Les pages blanches, l'aube de tout un passé...

samedi 17 novembre 2007

Nigth and Day

La nuit, éclaircie, épaissie, ralenti, plus de bruit..
Le silence, non-chalance, romance...
Ses senteurs, ses clameurs, les parfums, bel entrain..

Le jour, adouci, éclairé, ébloui, maculé,
De beauté, les crémes à bronzer, les bains, matière naturelle??
Charnelle, cruelle, qu'elle est belle... A croquer? A manger?...
A pleurer? A sucer..? Tambouriner, charmer cett belle fleur d'été....

Acourir, rajeunir, à doucir, les moeurs?
Les mots? les pensées? Quoi encore?
La rattraper, la tutoyer, la chasteté...
Pas d'pas d'enfant, dans ces mots là, dans ces jeux là..

Le temps des mots...

Comment là en se sens, venir ceuillir ce breuvage subtil?
Comment là en se sens, venir chatoyer l'essence de tes pensées?

Camille, Emile, Alphonse, Alexandre,..

Y verrai-je des lignes, des mots là bien à lui, en ces pamphlets voluptueux, des liens sociaux décris, qui par de là les mots, par de là les montagnes, ont franchis bien des siècles, des tourments, des années, pour venir mourrir là, en nos vastes pensées, en nos "prairies" d'été.

Comme cela...

Danse, dance, romance, transe, cadence,
Irai-je ici et là, vers le haut, vers le bas,
Les fracas, les cris d'joie?

Un sourie par ici, te voilà à vingt ans,
Le temps de traverser, ce pont qui c'est fondé,
En ces folles années, le temps bien écoulé,
N'y verrais là tu pas, l'ombre d'un autre pas
L'ombre d'un papa, l'ombre d'un au delà....

N'a guerre 14

Monde canon en avant, monde vague grisonnant,
Des gaz non hilarants, baillonettes vers l'avant,
Ennivrant les poumons, quand tu craches les jurons,
Au plus profond desquels, se perdent ici et là,
Des particules nocives, une chimie corosive...

A la moutarde le lapin, une goutte de vin? Non merci, mais je n'apprécie plus ce condiment, qui, durant bien des années, vint perforé en moi mes alvéoles blessées.

En bleu aux bottines noire, de l'eau jusqu'au genou, du givre dans le coup, comment ai-je pu survivre à ces instants de peurs et de frayeurs mélées?

Quand ici sonne le glas, quand sonne le fracas,
Une pensée s'illumine, une source en toi qui brille,
Telle une nappe bleuté, en ce feu des tranchées,
Qui vient là paraphé, l'instant de tes pensées, présent des jours passés.

Blottit là et accroché ici, avec mes souliers décharnés, mes pensées grisonnées par cette nappe de fumée, ces flots de balles tirés, au loin se dessine un monticule de terre éclairé par les flots des canons. Comment pourrai-je y croire encore, comment pourrai-je voir le monde endimanché, les festivals d'été?

Maintenant endimanché, une vingtaine d'année,
Une femme à tes côtés, la joie'd'vivre retrouvée..
A l'orée d'une fôret, à l'aube qu'en toi il naît...
A l'aurore d'un reflet, en ces arbres Landais,
Nous seuls dans cette fôret...

Faits Noir (Ils)

Des tentes là plantés, au coeur de la cité,
En des endroits figés, en des endroits clichés,
Au fin fond des ténèbres, au fin fond des tunnels,
Mal logés, naufragés, des milliers à penser,
Milliers à travailler, sans le droit au foyer,

Seul ou handicapé, un sou là, une clé,
Vois-tu en toi ancré, une idée partagée,
Une sévérité, une vérité liée,
Au pied d'une société, un peu à tes côtés.

Regarde bien au loin, affine là les coins,
Laisse en toi là jaillir, l'idée qu'une paire d'année,
Puisse venir libérer, puisse venir couper, le fil de ton passé....

Effet de Serre

L'espace, la mer, la conquête, la "découverte",
Le désert blanc, le désert "jaune", maîtrise du temps
L'or blanc, l'or noir, lequel laisser choir?
Blanc ou noir à venir, la colombe, le pire?
La pensée, l'acte donné, l'intellecte, le physique?

Un rêve

Deux guerres, trois guerres, guéguerre,
Des voisins, des chemins, de croix?,
Peuples entiers condamnés, à l'effroi,
A tirer, à crier, contre l'absurdité,

Mouvement, rassemblement, courant, alignement,
Changeras-tu un jour, le fruit des longs discours,
Feras-tu naître demain, "l'amour" de ton prochain,
Si proche là de nous, toi le sud à genou,
Seras-tu là un jour, faire briller les beaux jours,
Renaître de tes cendres, ne plus laisser descendre,
Les peuples, les idées, les rêves entiers scellés,
Au fin fond de ton âme, au fin fond de ta flamme...

Peuple du sud, du levant, des mains d'hommes brandissants,
Un droit à l'avenir, un droit au p'tits plaisirs,
Pain et vin quotidien, un foyer, un destin...
Tant de graines à semer, de champs à récolter,
Un futur, une pensée, qui en une paire d'année
Te change d'la tête aux pieds......

mardi 13 novembre 2007

Au loin du bord

Pot de terre, pot de fer,
Pot de vin, Quel mystère,
pot de verre, pour plaire,
Apostrophe honnêtement?
Courageusement! et dignement!...

Bout à bout, de vous à nous,
De toi à moi, ne le dis pas,
Il s'agit là, d'un mauvais pas,
D'une apostrophe, d'un bâtiment,
A coeur jeté, proche des marées,
Grincement de dents, grande cité..

Impressionnant? Cubes dans le vent,
Blocs de béton, quand dira-t-on,
Quand tourne le vent, quand le printemps,
Vient à manquer, l'hiver, l'été..

Vie en vrac

Demi-litre, demi de bière, demi-sel,
Demi de mélée, quel festin,quel entrain
Cette mi-temps festoyée...


Quand tourne le vent, monte l'orage,
Quand tourne le dos, soleils fachés,
Quand tourne la broche, sonne le repas..

Quartier, quart-monde,
Quatre-quart, quart-temps,
Quart d'heure, en voie de développement..

Cités, bariolées, rassaciées,
Piété, gaieté, ouvrier,
Aimé, décrié, distancé, Pauvreté...

Chasteté, charité, bien ordonnée,
Clareté, festivité, démesurée,
Beau comme les blés, endimanché,
Toi religion tu es là née...

Le temps qui coule....

Sage comme une image,
Qui peu à peu s'envole,
Vers des cieux, des marées,
Vers des champs là semés,

Des songes d'une nuit d'été,
Des chemins là boisés,
En lesquels peu à peu,
Se forgent des idées,
Se forgent des pensées...

Doux message

Un chemin, une passerelle,
J'entend battre tes ailes,
Tes refrains, tes louanges,
Filent droit vers un ange..

Vers ces grands champs de blé,
Semer l'hiver, l'été,
Au loin un arc-en-ciel,
Un symbôle une merveille,
Eveille chaque jour,
Les sentiments qui courent..

Un chêne vers le ciel,
Beauté immatérielle,
Une pensée s'éveille,
Un sentiment craquèle,

Au loin à l'horizon,
Deux voix en unisson,
Laissent soudain échapper,
L'essence de leurs pensées...

Amour

Attiser chaque jour,
Le grand feu de l'amour,
Conté chaque nuitée,
Les versets tant aîmés.

Brique par brique montées,
Mètres par mètres élevés,
Une demeure se batit,
Un coin de paradis.

En lequel toi et moi,
Chavirerons bien des fois,
Chanterons de vive voix,
Les refrains de la joie.

Oh grand dame amour,
Oh grand dame toujours,
Des liserets aux contours,
Dessinent tour à tour,
Un sentiment qui coure......

Jeunesse

Fleurit comme le printemps,
Une fleur entre les dents,
Je te vois dessiner,
L'aube de tes vingts années,

Là à l'orée d'un bois,
Les tourments, les fracas,
Les hymnes à la joie,
Transfigurent sans cesse,
Les mots là qui te laissent,
Infiniment grandir.....

Toi monde construction

Une équipe, des métiers,
Hauteurs élevées,Bâtisseurs d'années,
Candeur enlevé, toi homme de chantier.
Ton courage jeté, ta couleur d'été,
Hiver comme été, par moins dix degrés,
Un fil pour te guider, une chaleur jetée,
Lorsque tous à manger, tu repars d'un bon pied...

Tel l'époque romantique, tel un art gothique,
Soudainement ancré là, tu cherches en vain la foi,
Des premières années, tes premières idées...

Une ligne raffinée, matériaux fécondés,
Au fil des années, éloge de la pensée,
Architecture moderne, tes lignes sans pareilles,
Caracolent vers le ciel, en ce monde virtuel....

Un long voyage

Une oraison champêtre,
Une oraison funeste,
Ont semés ça et là,
des rires, des tracas,
Des graines pour l'été,
Des champs entier de blé,

Toi seul à mes côtés,
des mois à protéger,
L'essence même de la vie,
l'essence même en un cri,
Délie bien des sourires,
Ne laisse pas ternir,
Les sentiers à venir, les chemins à fleurir,
Les sentiments courir...