
Ici là un carnage, ici là un ravage,
Une descente aux enfers, bien plus noir que gris-vert,
En l'espace d'une seconde, en l'espace d'un monde,
Seul à perdurer, seul à batifoler,
Sans l'ombre d'une fleur, sans l'ombre d'une lueur,
Tu vois passé le temps, tu vois souffler le vent,
Vent et chaudes marées, noyés à tempêter,
Vers un monde un chemin, vers un mont un refrain,
Qui sera être le tien, qui sera être le mien...