Toi la mort,tu es là à présent,
Au confins d'une rue, au confins d'un croisement,
Au confins d'une arène, au confins d'une peine,
La mort comme réconfort, la mort comme mentor,
Tu laisses place à la haine, tu laisses place à des scènes,
Tu attises violences, tu attises turbulences,
Qui à l'orée d'une ville, qui a l'heure des missiles,
Frappe ici et là, frappe en un fracas,
Une maison, une ville, un immeuble, un glas,
Combien de temps encore, subir ce matador,
Combien de temps encore, laisser place à la mort,
Laisser place à un sort, laisser place à un tort,
En quelques mois menés, à ruiner, à saigner,
Un pays, une ville, un continent entier..
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